Philippe Claudel
L'été est sous le signe des meurtres de petites filles (voir Seul le Silence). Ici, c'est la guerre des tranchées qui donne le ton, lointaine et un peu irréèlle, n'existant que par ses retentissements indirects sur les relations entre civils (comme on le retrouve dans Le Sang Noir). Ni noires ni blanches, les âmes du roman laissent tout de même un goût amer
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