Romain Gary
Belle découverte que cette autobiographie : impossible de ne pas la comparer à celle d'Albert Cohen (Le livre de ma mère), fils aimant certes mais distant et condescendant. L'amour que Romain Gary éprouve pour sa mère est inconditionnel, irrévocable, au point de la suivre aveuglément dans ses délires maternels mégalomaniaques de destin programmé.
Belle écriture. Juste quelques longueurs dans la dernière partie sur la guerre.
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