Douglas Kennedy
Dévoré en quelques heures, comme d'habitude. On retrouve la construction habituelle : descente aux enfers puis échappée, qui ici prend le nom de résilience, puis que cette fois on ne retrouve pas le scénario du complot organisé. La morale est plutôt "bouddhique", en ce sens que tout acte a des conséquences. Les personnages "maléfiques" le sont ici presque à leur insu, eux même prisonniers de leur destin.
Un magnifique roman à classer parmi les meilleurs de D. Kennedy
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