- Poche : 275 pages
- Editeur : Gallimard (6 octobre 1972)
- Collection : Folio
- Existe en version numérique
- Langue : Français
Pas d’accroche avec ce roman du célèbre écrivain. Les personnages , soit ivres soit en train de boire pour accéder à ce paradis artificiel, ont transformé ma lecture en enfer. Descriptions de paysages indigentes (beaucoup de « Il y avait « , des vaches, des bois, des montagnes et à chaque fois, une route qui parcourait le décor). Le point fort du roman, c’est la fête basque avec taureaux et humains s’affrontant dans une lutte aussi dangereuse qu’inutile.
Pas ma tasse de thé, du tout du tout, et pour être honnête , j’ai abandonné aux trois quarts de la lecture, convaincue alors que rien ne pourrait arriver qui modifierait mon point de vue. Ce roman a pourtant été à sa sortie un best-seller, et je suis curieuse d’en lire des critiques positives, pour comprendre ce qui m’a échappé.
J’avais beaucoup aimé Pour qui sonne le glas, ce récit sur la guerre d’Espagne, avec des personnages forts d’une histoire tragique.
Il y avait de larges pare-feu dans les pins et, en les enfilant du regard, comme des avenues, on pouvait voir des collines boisées tout au bout. A environ sept heures trente, nous dînâmes tout en regardant le paysage par la glace ouverte du wagon. C'était une région de pins, sablonneuse, couverte de bruyères. Il y avait de petites clairières avec des maisons et, de loin en loin, on voyait une scierie.
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