Laurent Petitmangin
- Éditeur : La Manufacture de livres (7 octobre 2021)
- Langue : Français
- Broché : 272 pages
Juste après la seconde guerre mondiale, à Berlin des réseaux s’organisent alors que la frontière infranchissable qui sépare Berlin en deux se fait de plus en plus étanche.
Le narrateur semble avoir pour rôle de recruter des têtes pensantes dans un groupe d’élites, mixte, ce qui aboutira lors de leurs réunions dont on ne voit pas trop le but, à créer des couples avec une descendance qui sera mise à l’écart et destinée à une éducation haut de gamme.
Gerd est en relation avec une allemande Käthe, et une américaine Liz , dont les buts semblent opposés. Pris entre deux feux, il tombe dans quelques pièges grossiers, qui coûteront la vie à des enfants innocents.
Voilà ce que j’ai cru comprendre de ce roman étrange, où je me suis perdue entre espionnage et contre espionnage, et j’ai surtout failli mourir d’ennui. On ne retrouve absolument pas l’émotion de Ce qu’il faut de nuit qui m’avait totalement embarquée, et il est difficile de s’attacher à ces personnages.
Deuxième rendez-vous raté, mais je mise néanmoins sur une troisième rencontre.
Il rentre chez Air France, société pour laquelle il travaille encore aujourd’hui. Grand lecteur, il écrit depuis une dizaine d’années.
Laurent Petitmangin a obtenu le prix littéraire Georges-Brassens et le prix Stanislas 2020 du premier roman pour "Ce qu’il faut de nuit", premier roman sensible et puissant sur l'amour filial, l'engagement politique qui peut conduire au pire.
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